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Débauche dans le clergé catholique

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Religion

Au congrès des Pères Supérieurs qui eut lieu à Rome en septembre de l'an 2000, l'abbé femme Ester Faugman, après avoir déploré la situation sexuelle dans le monde ecclésiastique en disant : " C'est une croix très lourde celle que nous soeurs devons porter comme victimes de l'abus sexuel des prêtres ", puis elle continue sa dénonciation en expliquant comment, dans les pays moins développés, c'est-à-dire dans ceux où l'effronterie est encouragée par l'incapacité des autorités civiles, les prêtres puissent arriver à abuser des soeurs avec une telle désinvolture qu'ils utilisent les couvents comme des bordels : " C'est une procédure normale que de voir un prêtre se présenter à un couvent pour demander qu'on lui concède une religieuse afin de satisfaire ses envies sexuelles. "
Et comme dans les pays sous-développés, des abus du même ordre ont lieu dans le monde ecclésiastique occidental où cela est devenu une coutume que d'offrir aux soeurs, en échange de leur sexe, des faveurs sous forme de chantage, comme la concession de documents ou l'assignation de charges personnelles auprès des Monseigneurs lesquels, s'ils les engagent dans leurs dépendances en tant qu'assistantes sociales, apprenties secrétaires ou collaboratrices domestiques, ils le font seulement pour camoufler un vrai et réel état de concubinage. Sans parler des chantages spirituels et matériels que les prêtres font subir qui, dans leur ingénuité de jeunes filles plagiées, concèdent aux envies de ces escrocs en échange de la rémission des péchés ou de la récompense d'un peu d'argent.

Les lieux où sont davantage commis les abus sexuels, Rome en tête, sont les grands centres de la chrétienté où affluent continuellement les religieuses de toute la terre.
Si parmi les soeurs provenant de l'étranger, les novices sont les plus demandées, c'est aussi dû au fait que leur inexpérience sexuelle représente pour les prélats une garantie d'immunité contre le SIDA qui s'est diffusé désormais dans tous les monastères des pays sous-développés. Comme pour la syphilis d'antan, les prêtres sont la corporation la plus touchée par cette maladie. Les novices recevront, bien entendu, ce cadeau béni en héritage: le SIDA.

Cette situation pose de vrais problèmes à l'Église car il lui est de plus en plus difficile de cacher au monde laïque cette réalité de sa morale, pétrie dans la dépravation.
Un véritable scandale que le Pape Jean-Paul II a cherché encore une fois de réparer en envoyant aux conférences épiscopales d'Australie, de Tahiti, Samoa et Tonga en e-mail d'excuses pour les abus sexuels commis par les prêtres envers les populations locales.
Et l'hypocrisie de la presse italienne, ignorant toute éthique morale au lieu de considérer le fait comme une confirmation de l'immoralité de l'Église, a préféré lui donner la valeur d'un événement historique pour la simple raison que le Grand Pontife, constructeur de saints et fauteur de guerres, envoyait le premier message de sa vie par courrier électronique.

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D'après Luigi Cascioli