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Progrès de la langue et de la dhimmitude

islamisme

Religion

La "dhimmitude" est l'esprit de soumission qui animait les peuples vaincus par les armées musulmanes au Moyen-Age. Une fois envahis et battus, ils étaient – en théorie – tolérés par les califes, mais soumis à un impôt supplémentaire et discriminatoire. Vous croyez que ce concept est aujourd'hui désuet, mais l'affaire des caricatures du prophète de l'islam nous a montré le spectacle lamentable des politiciens européens demandant pardon pour l' "offense" commise aux musulmans. Voici une nouvelle preuve irréfutable que les élites européennes sont fascinées par la force de l'islam au point de se soumettre moralement aux injonctions de ses imams : découvrez comment est défini le mot "mahomet" du XVIII° siècle à nos jours dans les encyclopédies françaises :

— 1769, Nouveau Dictionnaire historique portatif, article Mahomet
"Eminah était veuve depuis dix mois lorsqu'elle mit au monde le futur prophète. Mahomet, cet illustre imposteur, ce sublime charlatan, avait la physionomie spirituelle, le feu dans les yeux et un air d'autorité et d'insinuation. Il était sujet à des attaques fréquentes d'épilepsie (...). Il fit passer le temps de ses accès pour celui que l'Être suprême destinait à l'instruire. Cet apôtre sanguinaire ayant augmenté ses forces, oubliant la trêve qu'il avait faite deux ans auparavant avec les habitants de La Mecque, met le siège devant cette ville, l'emporte de force, et le fer et la flamme à la main il donne aux vaincus le choix de la religion ou de la mort. On passe au fil de l'épée tous ceux qui résistent au prophète guerrier et barbare. Le livre qui contient les dogmes et les préceptes du mahométisme s'appelle l'Alcoran. C'est une rhapsodie de six mille vers sans ordre, sans liaison, sans art. Il n'y a point de religion ni de gouvernement qui soit moins favorable au sexe que le mahométisme et elle ne permet pas aux femmes de quitter des maris fâcheux à moins qu'ils n'y consentent."
— 1815, Dictionnaire biographique et bibliographique portatif, article Mahomet ou Mohammed
"La veuve d'un marchand prit [Mahomet] pour conduire son négoce et l'épousa trois ans après. Chadyse, c'est le nom de cette veuve, lui fit une donation de tous ses biens. Mahomet, parvenu à un état opulent, résolut de devenir le chef de sa nation ; il jugea qu'il n'y avait point de voie plus sûre pour parvenir à son but que celle de la religion. Le nouveau prophète trouva dans ses attaques fréquentes d'épilepsie de quoi confirmer l'opinion de son commerce avec le Ciel. Il défendit à ses disciples de disputer sur sa doctrine avec les étrangers, et leur ordonna de ne répondre aux objections des contradicteurs que par le glaive. Il mourut à Médine de l'impression d'un poison qu'une femme juive avait mis dans une épaule de mouton pour savoir s'il était prophète. Un homme qui proposait pour paradis un sérail ne pouvait faire que des prosélytes. Il n'y a point de religion ni de gouvernement qui soit moins favorable au sexe que le mahométisme ; toutes les lois à l'égard de cette moitié du genre humain sont dures, injustes ou très incommodes."
— 1852, Dictionnaire de théologie, par l'abbé Bergier, article Mahomet
"Jamais homme n'a poussé plus loin la luxure. [Mahomet] ne se contenta pas d'avoir plusieurs femmes, il s'attribua le privilège d'enlever celles d'autrui ; il abusa de ses esclaves, même d'une petite fille de huit ans. Il poussa l'impudence jusqu'à vouloir justifier ses turpitudes par une permission formelle de Dieu, et forgea dans ce dessein les chapitres XXXIII et XXXVI de l'Alcoran. Il prétendit qu'il lui était permis (...) de partager les terres d'autrui, même avant qu'il s'en fût rendu maître ; parce que Dieu lui avait donné, disait-il, la possession de toute la terre."
1876, Dictionnaire universel des littératures, par Gustave Vapereau, article Coran
Le Coran est de médiocre valeur et ne saurait soutenir la comparaison avec aucun des livres sacrés que nous a légués l'Antiquité. Cependant les musulmans croient qu'il n'est pas donné à l'homme de créer une œuvre à la fois si parfaite et si sublime.
— 1897, Nouveau Larousse illustré, article Islamisme
"Plus [le musulman] s'assimile [les] procédés [de l'Occident] et jusqu'à un certain point ses manières de penser et ses méthodes, plus il devient ennemi de cette civilisation, dont chaque détail ne peut manquer de blesser ses sentiments religieux. La seule chose qui permette aux nations européennes de ne pas s'inquiéter outre mesure de cette tendance de l'islamisme moderne est le fait que les nations musulmanes ne forment pas un tout soumis à l'autorité d'un même souverain et que l'on conçoit difficilement le Maroc marchant dans une action commune avec la Perse contre la chrétienté ; toutefois l'on est trop porté à oublier l'importance des confréries mystiques, et il est hors de doute aujourd'hui que certains mouvements insurrectionnels dus aux musulmans en Chine ont été l'écho des affaires d'Arménie."
— 1966, Larousse trois volumes en couleurs, rubrique Mahomet ou Muhammad
"Pieux, juste, instruit du judaïsme et du christianisme, Mahomet dut combattre les gens de La Mecque (combat d'Huhud, 627) et chasser les juifs. À partir de 631 (« année des députations »), soumissions de tribus et conversions à l'islam se multiplièrent."
(On remarquera l' euphémisme : "dut combattre..".)
— 1982, Grand Dictionnaire encyclopédique Larousse, rubrique Mahomet ou Muhammad :
"Mahomet a construit un ensemble remarquable de réformes sociales qui touchent à la sécurité de la vie et de la propriété, à la codification du mariage, à la famille, aux héritages, à l'usure, à l'hygiène de vie. Il a libéré l'homme de la sujétion tribale, car le croyant ne rend compte de sa vie qu'à Dieu."
— 1997, Dictionnaire de l'islam, Encyclopædia universalis/Albin Michel, article Muhammad :
"Homme génial (...), il sut forger une synthèse idéologique impressionnante, capable de séduire d'abord son pays natal, puis de s'imposer dans une vaste zone du globe. Il sut aussi employer des dons remarquables de chef politique et militaire à acquérir le contrôle de l'Arabie. Mystique (incomplet), profondément religieux, mais pas pur homme de sainteté comme le Christ et le Bouddha, les faiblesses humaines de cette impressionnante personnalité ne font que rendre sa biographie plus attachante."

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