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« Iels » voudraient nous empêcher de vivre…

Société

Réquisitoire « culturellement incorrect » assumé, farci de hallebardes Trollesques à l’adresse des « SJW » !

- « Mr le Procureur-Troll de la 666ème Cour de Justice Noire, Occulte et Païenne du Black Metal, le Ministère des Musiques et Cultures Sombres contre les « SJW », l’audience est rouverte. »

- Merci Madame la Présidente. Oh, que j’aime cet indicatif au clavier, le « Seven Tears Are Flowing To The River » de Nargaroth...

Françaises, Français, Belges, Belges, Métalleuses, Métalleux, Bourrines, Bourrins, Trollettes, Trolls, Chers frères et sœurs de Culture, d’Arts Noirs et d’Idéaux Simples ! Chers lecteurs et amis de la Horde Noire, vous qui tombez souvent dans le dépit face à ce monde allant dans le mur, et qui trouvez le réconfort dans l’obscurité de nos références musicales, littéraires, artistiques, idéologiques ...

Vegans, « Vegans Break à crédit » (!), Bouffeurs de Salade aux Graines, Licornes du Net qui vous trompez de causes à défendre, de méthodes comme d’ennemis, Vous, les nouveaux tenants du « politiquement ultra-correct », Vous, les « no-life » au discours végétalien lénifiant-léniniste qui voulez nous faire pisser Lénine... Lécher les Pline... Plier l’échine ! Vous, les tyrans virtuels à la graisse d’essieu, tel est votre sort à défaut de réussir votre troisième année de Japonais ou de Beaux-Arts !

Madame la Présidente, Monsieur le Garde des Runes (des Sceaux, pardon), Mesdames et Messieurs les Jurés sous Serment de Noirceur, Monsieur l’Avocat commis d’Office aux positions multiples et variées... Alors que sous la cape Trollesque, se dresse la plus rouge et la plus honteuse des peines, je ne puis m’empêcher de remercier chaleureusement le Webzine « La Horde Noire », ainsi que Toi, Lectorat Chéri, Mon Putain d’Amour !

Bonjour ma Colère, Salut ma Rage et mon courroux... COUCOU ! (Bon, s’il y a de plus en plus de fans de Pierre DESPROGES qui suivent « La Horde Noire » grâce à mes trolleries, ça me convient.)

Alors, les « SJW », « de quoi t’est-ce qu’on les accuse-t-on ? » pour parler comme cette entité abstraite que l’on nomme « les gens », pour qui les 300 mots de vocabulaire prescrits quotidiennement par Hanouna et consorts offrent la promesse de vivre connement et longtemps ... Eh bien, je n’irai pas par quatre chemins : j’accuse les « SJW » de nous faire chier. A la limite de nous empêcher de vivre. La vie ne dure pas, alors qu’ils nous laissent profiter de la mort le moment venu, du moins à compter du moment où les asticots qui auront fini de becqueter Johnny Hallyday, feront la file d’attente pour se repaître de ma carcasse !

Le moins que l’on puisse dire, en ce prémisse des années 2020 où la décrépitude médiatico-trouducutale s’étiole peu à peu sous les coups de boutoir conjugués de Facebook, Twitter, Instagram, Youtube et Snapchat, c’est que toutes les idées jugées comme « inappropriées » par les médias « conventionnels » (dont les pensées profondes de votre serviteur), se répandent et abondent en se télescopant violemment sur Internet, quasiment sans limites, comme jamais cela n’a été constaté dans l’histoire contemporaine « en dehors des milieux autorisés de la presse ».

Ni d’ailleurs, depuis l’Antiquité, temps où la « réclame » se contentait, à Pompéi, Thessalonique ou Lugdunum, de faire connaître les noms des candidats aux élections du Sénat local, à l’aide d’une simple craie sur un mur ancestral. Et de Kirkenes à Aarhus, de Luleå à Klaipéda, les runes servaient à sceller un serment, à orner un bateau ou à décorer des bijoux et épées, « tandis qu’au Sud de la Loire, après dissipation des brumes matinales, les éclaircies domineront sur l’ensemble de nos régions. Voici quelques températures relevées sous abri ce matin : 7°C à Troyes, 9°C à Sète, à Nantes... bah Nantes – Grenoble, 3-0. »

Personnellement, je n’ai rien contre les gens, mais contre ce qui sert d’ « idées en vogue » à certains. Quel est le choix entre deux extrémismes ? Probablement l’extrémisme du rire gras, absurde, blasphématoire « à pisser dans les bénitiers et prier dans les pissotières » tel que le faisait Jean Yanne, cynique, ironique, défiant la vie comme la mort, rentre-dedans, et ouvertement destiné à susciter toutes sortes de réactions, fussent-elles enflammées, menaçantes, approbatrices ou critiques.

Pour ce qui est des « SJW », c’est encore plus compliqué de pratiquer toute forme d’humour. Sachant que, selon « iels » (pardon, selon eux), « tout discours oppressif est une discrimination », et (je cite leur doctrine), « il y a les groupes dominateurs et les groupes oppressés ». Du coup, 95 % des histoires drôles que vous connaissez tous ne « passent pas » pour « iels » ! Merde alors, si on ne peut plus que raconter des blagues « safe » ...

Les premiers visés par leur nouvelle « croisade dans l’intolérance de la tolérance » étant, par ordre d’appel, les hommes blancs hétérosexuels « cis-genre », les « intolérants », les « islamophobes », les « racistes à cause d’un mot de travers » les « transphobes », les « LGBTQITZ+phobes » (!), les « boulgourophobes », les « anti-modernisme », les « veganophobes », les « grossophobes », les « glottophobes », et, d’une manière générale, celles et ceux qui « participent en groupe à l’oppression de tous les autres, que ces autres soient humains, animaux, plantes, bactéries, particules fines, liquides, solides, gazeux... »

Et, de facto, j’en arrive au cœur du problème : si vous ne pensez pas « au mot près » comme eux, si vous ne « respectez pas leur safespace », si vous osez sortir une tranche de saucisson Alpin dans un « brunch de fragiles boulgour-quinoa-tofu », vous êtes forcément « un intolérant » ! Et blam, voilà ces braves petits soldats de la fausse rébellion travestie en nouvelle idéologie débilitante en train de vous suggérer de « checker vos privilèges ». A la limite du ridicule parfois, ainsi « ils ne montent pas aux barricades virtuelles » quand est annoncé la tenue sur Paris d’un « colloque du dé-colonialisme réservé exclusivement aux femmes non-blanches métissées ». Belle promotion, faute de réaction, d’un certain « racisme anti-blanc », lequel n’est plus la « chasse gardée » de divers « polémistes » !

J’ai eu à faire à des « SJW » il y a quelques années, sur Facebook évidemment. J’aurais bien aimé que cela se passe dans la vie réelle. Nécessairement vêtu de mon treillis F4 Camo CE blousé dans mes Paraboots, d’un tee-shirt « Asatrù – Wir bleiben Heiden », de mon béret de berger des Alpes et de ma musette Eastpak, sans compter mes bracelets de force en bon vieux cuir. Le déséquilibre entre l’injonction crypto-rebelle du « SJW » maigrichon précité, et ma dégaine ventripotente de « gros Lutin » revenant des Mégalithes, aurait fait pencher le plateau de la balance Roberval, et le long fléau se dressant au-dessus des parties... Pouf-pouf. J’en ris, rien qu’à imaginer la scène.

Alors, qu’appellent-ils « privilèges » ? Bon. Vous êtes un homme blanc (c’est déjà mal barré, sachant que les « SJW » sont forcément ultra-égalitaristes, et croient que tous les hommes blancs dominent la société et les femmes, qu’ils le veuillent ou non). Vous êtes hétérosexuel (encore pire !), vous êtes omnivore comme la majorité de la population française n’affichant aucune carence en sels minéraux, en vitamines et en fer, vous n’êtes ni transsexuel, ni « licorne », ni « tasseau de 12 », ni « petit poney rose et bleu ».

Eh bien, chers amis, et quelques « SJW » qui auraient éventuellement fait un petit malaise vagal ou hypoglycémique à la lecture de ce pastiche franchement satirique d’inspiration Trollo-Desprogienne, voici les bien mal nommés « privilèges » qui font appartenir untel ou un autre aux « dominants » ou aux « oppressés », selon cette nouvelle « tendance » inhérente à la désespérance et à la déshumanisation d’une partie de la jeunesse, transformée en féroces louveteaux hurlant sur les réseaux ...

« Entendez-vous dans nos campagnes, mugir ces petits décérébrés, qui viennent jusque dans nos bras, piétiner nos petits plaisirs et ceux de nos amis ? » Pardon, je m’égare d’Austerlitz, qui nous mène à Castelnaudary, miam-miam le cassoulet, avec du Bordeaux Rouge bien sûr.

Je tenais aussi à préciser ma pensée envers certains « SJW » qui vont plus loin. Si, c’est possible ! Vu que je roule en Ford depuis 2013, certains ne se sont pas gênés pour me rappeler qu’Henry Ford a aidé les Nazis avant la Seconde Guerre mondiale. Attendu que j’achète des sticks à lèvres fabriqués en Allemagne pour le hard discount, ils n’ont pas loupé de me dire que les chimistes Allemands avaient inventé les gaz utilisés dans les camps d’extermination.

Enfin, pour ces gens-là, être à la fois Metalleux et Païen (association d’idées nécessaire selon eux avec la « société de Thulé ») par-dessus le marché, fait de moi un quadruple « point Godwin », bien vivant et bien portant. Et je les emmerde cordialement. Pour le peu que j’en croise dans la rue... je ne risque pas grand-chose !

Alors, vu que les « SJW » sont « vegan », ils ne consomment rien qui provient de l’exploitation des animaux, ou qui a été testé sur des animaux (même si ce n’est plus le cas), donc pas de viande, de poisson, d’œufs et dérivés, de lait et dérivés, de cuir et de laine, de tabac, de cosmétiques... Mais quelle vie chiante, sans plaisir, sans humanité, sans chaleur, quel blasphème des us et coutumes de la Creuse ! (D’ailleurs, il n’y a pas de hasard, c’est encore un 23 qui m’a fait une queue de poisson ce matin...)

Ne vous méprenez pas sur mes propos, chers lecteurs et amis. Je n’ai aucun grief contre les végétariens ouverts d’esprit, ni contre la majorité des vegans qui ne font aucun prosélytisme ni aucun « racolage idéologique » (sur les réseaux sociaux comme IRL). Seuls certains petits connards se sentant trois poils de duvet pousser au cul, de sorte qu’ils en deviennent (à tout propos) proto-despotiques par mimétisme des réseaux, méritent amplement les anathèmes fruités que je leur adresse ici « par le menu ».

Cela fait 40 ans que les médias « bien pensants » pourrissent la gueule du Metal et de la culture Goth, et mon post n’est jamais qu’un petit « retour de bâton » envers une « génération spontanée » de plus, au panthéon des liberticides en culotte courte, qui ont grandi dans la naïveté crétine des bobos typiques. L’avenir nous donnera sans doute raison, mais pas sur tout. Car il faut « raison garder », la pognes-tu.

Bien évidemment, ces braves petits soldats du virtuel (on ne va pas les retrouver dans un concert de Sale Freux, encore heureux !) ne manifestent pas autant de hargne dans la vie réelle que sur Internet, où ils conspuent abondamment toutes celles et tous ceux qui ne pensent pas comme eux, ou qui n’adoptent pas leur grammaire « inclusive ». Ne nous gênons pas, donc, pour leur renvoyer l’ascenseur en plein dans la gueule, ce que je vais faire pour vous, et en désactivant toutes les « sécurités ». Cadeau de la maison Troll, c’est offert par les points de votre carte de fidélité.

- « Ah, certes, en France aujourd’hui, il y a bien plus d’antisémites que de Juifs. »

- « Les chiffres sont terrifiants, c’est un fait établi, il y a de plus en plus d’étrangers dans le Monde. »

- « Ah, que j’aurais aimé être réellement avocat, pour pouvoir péder moi aussi ... »

- « La drogue a tué 1.000 personnes l’an dernier, l’alcool 38.000... Choisis ton camp, camarade ! »

- « Les racistes sont des gens qui se trompent de colère », disait avec mansuétude et sagesse le Président Léopold Sédar Senghor, « qui était moins accro à Twitter, mais plus Noir qu’un SJW moyen... »

- « Voilà une nouvelle psychose : les pédés donnent le SIDA ! Bah moi, j’vais vous dire : les bonnes femmes donnent le cancer, voilà. Ah, j’suis bien avec mon p’tit homme ... »

- « Je sais que les riches puent, et que les pauvres sentent ! Que les charcutiers sont dégueulasses et les végétaliens orthodoxes sont lamentables ! »

Vous l’avez donc constaté, chers lecteurs et amis, je ne me suis pas gêné pour rester à la hauteur de mon ton grinçant et corrosif, quitte à invoquer les esprits de Coluche, Desproges, et Jean Yanne !

Et, je conclus mon propos de ce jour en disant que, à peu de choses près, les « SJW » et les morpions sont identiques. On se tient à distance quand on sait qu’ils sont là, et quand on a affaire à eux, ça gratte, ça irrite, ça casse les couilles, et ça ne part qu’après application soit d’une diatribe lapidaire comme la mienne (pour les « SJW »), soit d’une lotion spéciale vendue en pharmacie sur ordonnance, et « testée en laboratoire » sur des animaux... les morpions eux-mêmes !

Ah, le cycle de la vie... « La roue tourne », et la broche à sanglier aussi, je ne vais donc pas laisser ma bière s’éventer.

Donc, et la pertinence de mon réquisitoire m’étonne moi-même, Dieu m’écartèle – si possible sous anesthésie générale – les « SJW » sont coupables de la recrudescence des névroses vu qu’ils nous pourrissent la vie, de la monopolisation des « réseaux sociaux » à leurs seuls profits, d’accumulations répétées et impulsives de « points Godwin », de discours moralisateurs creux comme les pages d’un roman de gare terminus où l’herbe pousse sur les voies... mais leurs avocats vous en convaincront mieux que moi.

Le Procureur-Troll de la 666ème Cour de Justice Noire, Occulte et Païenne du Black Metal